23_INT_56 - Interpellation Vincent Keller - Situation des psychomotriciennes dans les secteurs public et subventionné (Pas de développement).
Séance du Grand Conseil du mardi 25 avril 2023, point 4 de l'ordre du jour
Texte déposé
Le déploiement de l’école inclusive fait apparaître l’importance croissante d’un certain nombre de professionnel.le.s qui doivent intervenir auprès des élèves. Les psychomotriciennes relèvent de ces collectifs. Elles interviennent par ailleurs dans d’autres secteurs que l’école. L’Etat en tant qu’employeur public ou subventionneur est partie prenante de ce bassin d’emploi. Toutefois, les conditions de travail, les effectif et les salaires de cette collectivité professionnelle ne sont pas aussi bien connus qu’il le faudrait.
Davantage même, le développement des activités et des projets dans lesquels les psychomotriciennes interviennent aujourd’hui méritent d’être précisés pour l’avenir.
Cette situation m’amène à poser au Conseil d’Etat les questions suivantes :
Quel est actuellement le nombre de personnes employées comme psychomotriciennes dans le secteur public d’une part et dans le secteur subventionné de l’autre ?
Combien de personnes sont actuellement suivies par les psychomotriciennes, dans quelles activités de l’emploi public et dans quelles institutions subventionnées ?
Quel est l’activité moyenne et le salaire moyen des psychomotriciennes dans le secteur public d’une part et dans le secteur subventionné d’autre part ?
Quel est la durée d’activité moyenne des psychomotriciennes dans le secteur étatique d’une part et dans le secteur subventionné de l’autre ?
Quels sont les éléments de classification (salaire-carrière) des psychomotriciennes dans le secteur public d’une part et dans le secteur subventionné d’autre part ?
Quels sont, par rapports aux activités actuelles réalisées par les psychomotriciennes, les projets de transformation, de développement et les politiques d’emploi que compte impulser l’Etat ?
Conclusion
Ne souhaite pas développer
Documents
Transcriptions
Visionner le débat de ce point à l'ordre du jourRetour à l'ordre du jourL’auteur n’ayant pas souhaité développer son interpellation en plénum, celle-ci est renvoyée au Conseil d’Etat qui y répondra dans un délai de trois mois.