REP_668087 - Réponse du Conseil d'Etat au Grand Conseil à l'interpellation Florence Bettschart-Narbel et consorts - Mobilité linguistique : pourquoi le canton de Vaud est-il à la traîne ? (19_INT_291).

Séance du Grand Conseil du mercredi 23 juin 2021, point 20 de l'ordre du jour

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Mme Florence Bettschart-Narbel (PLR) —

Je remercie le Conseil d’Etat pour sa réponse et je salue le fait que ce dernier reconnaisse que des progrès peuvent encore être réalisés dans ce domaine, tant il est vrai que l’immersion doit être considérée comme le meilleur moyen d’apprendre une langue. S’agissant de l’école obligatoire, il est vrai que les échanges linguistiques ou les périodes de mobilité linguistique sont encore rares. En ce qui concerne les échanges linguistiques, cela dépend beaucoup de la volonté des enseignantes et des enseignants. C’est seulement avec une motivation particulière donnée aux enseignants que cela pourra se faire. S’agissant du postobligatoire, je reconnais bien volontiers que de nombreux élèves font le choix d’effectuer une deuxième année à l’extérieur du canton et il est vrai que l’on entend de plus en plus d’élèves qui sont partis se dire très heureux de cette année. Toutefois, il me semble que la situation actuelle est évidemment un peu bousculée et beaucoup plus compliquée en raison de la pandémie. Nous l’espérons, cette période devrait bientôt être terminée et nous espérons que les élèves vaudois pourront repartir de plus belle pour apprendre des langues en immersion.

Mme Sonya Butera (SOC) — Président-e

La discussion n’est pas utilisée.

Ce point de l’ordre du jour est traité.

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