24_INT_156 - Interpellation Michael Demont et consorts au nom du groupe UDC - Quels soutiens aux exploitants dans le cadre de la lutte contre la maladie de la langue bleue (Pas de développement).
Séance du Grand Conseil du mardi 12 novembre 2024, point 13 de l'ordre du jour
Texte déposé
La fièvre catarrhale ovine, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a refait surface dans notre pays cette année. Cette épizootie affecte principalement les bovins et les ovins, bien qu'elle ne soit pas transmissible aux humains. Cependant, elle peut entraîner des conséquences significatives sur le plan sanitaire et financier pour les éleveurs.
Des cas ont été signalés en plaine et dans les alpages. Les agriculteurs font face à des difficultés croissantes en raison de la propagation rapide de cette maladie, suscitant des inquiétudes pour l'avenir.
J’ai l’honneur de poser les questions suivantes au Conseil d’Etat :
- Pourquoi les périodes de mise sous séquestre varient-elles selon les cantons pour les exploitations touchées par la langue bleue ?
- Quelles sont les mesures mises en place pour soutenir les exploitations placées sous séquestre suite à cette épizootie ?
- Une estimation des pertes économiques subies par les exploitations agricoles touchées a-t-elle été effectuée ?
- Quelle est la durée moyenne de la quarantaine imposée aux exploitations touchées par cette épizootie, et quels sont les critères pour lever cette quarantaine ?
- Comment les autorités gèrent-elles la logistique des exploitations sous séquestre, notamment en ce qui concerne les déplacements des animaux ?
Conclusion
Ne souhaite pas développer
Liste exhaustive des cosignataires
Signataire | Parti |
---|---|
Maurice Treboux | UDC |
Pierre-Alain Favrod | UDC |
Cédric Weissert | UDC |
Nicolas Glauser | UDC |
Fabrice Tanner | UDC |
Jean-Bernard Chevalley | UDC |
Romain Belotti | UDC |
Denis Dumartheray | UDC |
Olivier Agassis | UDC |
Stéphane Jordan | UDC |
Yann Glayre | UDC |
Documents
Transcriptions
Visionner le débat de ce point à l'ordre du jourRetour à l'ordre du jourL’auteur n'ayant pas souhaité développer son interpellation en plénum, celle-ci est renvoyée au Conseil d’Etat qui y répondra dans un délai de trois mois.