21_INT_53 - Interpellation Philippe Vuillemin - Se faire le portrait…pour l’oublier ?.
Séance du Grand Conseil du mardi 20 avril 2021, point 2.14 de l'ordre du jour
Texte déposé
La salle du Sénat, au Palais de Rumine, exposait quelques 55 portraits et sculptures de professeurs, certains très célèbres et portant loin le rayonnement de la Ville puis du Canton.
Ils disaient ainsi notre Histoire.
Mais ils mettaient aussi en valeur, les artistes qui les avaient peints et le restaurateur Joseph Vuillermet qui en 1907 leur avait marqué sa sollicitude.
Un grand nombre des ces portraits venaient de la collection dite « de l’ancienne Académie ».
Bien sûr, il en va des portraits comme des paysages : ils ont leur mode.
On peut en penser ce que l’on en veut, mais on ne saurait nier l’intérêt historique et iconographique qu’ils représentent.
Nous souhaitons poser au Conseil d’Etat les questions suivantes :
1. Existe-t-il encore « une collection de l’ancienne Académie » ? se compose-t-telle que de portraits ?
2. Où se trouvent actuellement ces portraits et comment sont-ils conservés ?
3. Peu-t-on imaginer en exposer certains au MBA ?
4. Lors de la rétrospective Davel, peut-on imaginer que les portraits des contemporains que furent, David Constant de Rebecque qui écrivit un « abrégé de politique » aux nombreuses rééditions, et Jean Pierre de Crousaz dont le « Traité du beau… » fut réédité par Fayard en 1985, soient remis à l’honneur ?
5. Je remercie le Conseil d’Etat pour ses réponses.
Conclusion
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