21_REP_78 - Réponse du Conseil d'Etat au Grand Conseil à l'interpellation Rebecca Joly - Liberté d'expression à l'Université de Lausanne : chercheur-euse-s et engagé-e-s : c'est possible ! (21_INT_43).
Séance du Grand Conseil du mercredi 15 décembre 2021, point 24 de l'ordre du jour
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Visionner le débat de ce point à l'ordre du jourJe remercie le Conseil d’Etat pour sa réponse, d’autant plus qu’il a réaffirmé avec force le principe de la liberté d’expression garantie pour tout citoyen et toute citoyenne de ce canton. Ce principe s’applique également pour les chercheurs et chercheuses de l’Université de Lausanne (UNIL) ainsi que pour les employés et employées, d’autant plus que la Loi sur l’Université garantit à la fois la liberté académique et la liberté d’expression.
Toutefois, dans sa réponse, le Conseil d’Etat indique ne pas être au courant d’une éventuelle charte, alors que mon information venait d’une déclaration de la rectrice de l’époque, confirmée par un courriel des membres du groupe de travail mis en place. Le fait d’adopter une charte, soit un document écrit, a peut-être été abandonné ? Si c’est le cas, je m’en réjouirais. Pour le reste, je suis vraiment satisfaite de cette réaffirmation de la protection de la liberté d’expression des employés et employées de l’Etat de Vaud et de l’UNIL en particulier.
La discussion est ouverte.
Je ne puis que confirmer qu’il n’y a jamais eu de travaux en vue de l’élaboration d’une charte de bonne conduite à l’UNIL. Des engagements très clairs ont été pris par la nouvelle direction et le nouveau rectorat, non seulement en faveur de la liberté d’expression des milieux académiques, mais aussi pour la défense de la parole scientifique dans le débat, si importante aujourd’hui.
Retour à l'ordre du jourLa discussion est close.
Ce point de l’ordre du jour est traité.