21_INT_78 - Interpellation Cédric Weissert et consorts - Radar mobile, flash à outrance ? (Développement).

Séance du Grand Conseil du mardi 15 juin 2021, point 13 de l'ordre du jour

Texte déposé

Un article paru dans le Blick en date du 14 mai dernier mentionne que le modèle de radar mobile Leivtec XV3 est utilisé par une bonne partie des forces de polices de notre pays. Il apparaît que ce radar produit des écarts pouvant aller jusqu'à 11 km/h de trop dans certain cas de figure. Le fabricant allemand met d'ailleurs en garde contre ces mesures utilisées dans un cadre officiel. Au vu de cela, la commune d'Uitikon ZH a suspendu avec effet immédiat l'utilisation de ce radar tant que la situation n'est pas clarifiée.

 

J'ai donc l'honneur de poser les questions suivantes au Conseil d'Etat :

 

1) Ce radar est-il utilisé par la gendarmerie vaudoise ?

 

2) Si oui, le canton est-il au courant de ces écarts importants sur la vitesse constatée ?

 

3) Le canton prévoit-il de retirer ce radar de l'équipement de notre gendarmerie ?

 

4) Comment le canton pense-t-il procéder en cas de contestation sur les amendes reçues par les automobilistes ?

 

Je remercie par avance le Conseil d'Etat pour ses réponses

Conclusion

Souhaite développer

Liste exhaustive des cosignataires

SignataireParti
Dylan KarlenUDC
Denis RubattelUDC
Nicolas BolayUDC
François CardinauxPLR
Pierre-Alain FavrodUDC
Pierre-André RomanensPLR
Sacha SoldiniUDC
Jean-Marc GentonPLR
Jean-Marc SordetUDC
Yann GlayreUDC
Sylvain FreymondUDC
Cédric EchenardSOC
Blaise VionnetV'L

Transcriptions

M. Cédric Weissert (UDC) —

Un article paru récemment dans un journal alémanique mentionne que le modèle de radar Leivtec XV3 est utilisé par une bonne partie des forces de l’ordre de notre pays. Ce radar produit des écarts jusqu’à 11 km/h de trop dans certains cas. Le fabricant allemand met d’ailleurs en garde contre ces mesures utilisées dans un cadre officiel. Au vu de cela, la commune zurichoise d’Uitikon a suspendu avec effet immédiat l'utilisation de ce radar tant que la situation n'est pas clarifiée. Je pose donc quatre questions au Conseil d’État, afin de voir plus clair dans cette problématique et les impacts pour notre canton.

Mme Sonya Butera (SOC) — Président-e

L’interpellation est renvoyée au Conseil d’État qui y répondra dans un délai de trois mois.

Retour à l'ordre du jour

Partager la page

Partager sur :