20_INT_47 - Interpellation Julien Eggenberger et consorts - Le canton de Vaud à pied ! (Pas de développement).
Séance du Grand Conseil du mardi 24 novembre 2020, point 4 de l'ordre du jour
Texte déposé
Promouvoir un autre modèle touristique, valoriser le patrimoine culturel, encourager des pratiques favorables à la santé, favoriser les mobilités actives, autant de raison de mettre en avant la marche. Depuis longtemps, un réseau foisonnant de randonnées pédestres existe à travers notre canton, résultat d’un patient travail de jalonnement dans chaque secteur, dans chaque commune, par ces dernières, mais aussi par diverses structures touristiques ou encore les membres de diverses associations. Depuis quelques années, la fondation Suisse mobile, portée par la Confédération, les cantons et Suisse tourisme, développe le programme « La Suisse à pied ». En parallèle, les « itinéraires culturels suisses » se sont développés (Via Francigena par exemple). Ces différentes initiatives sont remarquables et révèlent une nouvelle manière de pratiquer la randonnée, plus abordable que les itinéraires de haute montagne, et permettant de vrais voyages au-delà de la course traditionnelle. La valorisation de ces « routes » pour marcheurs et marcheuses est aussi un atout majeur dans la perspective d’un tourisme différent. Cette tendance, à saluer, doit être encouragée.
Afin de faire le point sur ces questions, nous avons l’honneur de poser les questions suivantes :
1) Quelle appréciation le Conseil d’Etat porte-t-il sur le développement des routes « La Suisse à pied » et des itinéraires culturels dans notre canton ?
2) Comment est coordonnée l’offre en randonnée pédestre et son développement au niveau cantonal et des différentes régions ?
3) Qui définit les développements nécessaires et coordonne le jalonnement ?
4) Qui organise l’entretien et le développement du réseau ?
5) Quelles sont les difficultés rencontrées par les communes et les associations en charge des différents sentiers dans le développement du réseau de randonnée pédestre ?
6) Comment est financé l’entretien lourd de ces chemins et leur développement ?
7) Quelles sont les pistes envisagées par le Conseil d’État pour poursuivre le développement de cette stratégie ?
Conclusion
Ne souhaite pas développer
Liste exhaustive des cosignataires
Signataire | Parti |
---|---|
Jean Tschopp | SOC |
Carine Carvalho | SOC |
Valérie Induni | SOC |
Stéphane Montangero | SOC |
Monique Ryf | SOC |
Yves Paccaud | SOC |
Cendrine Cachemaille | SOC |
Alberto Cherubini | SOC |
Sébastien Cala | SOC |
Claire Attinger Doepper | SOC |
Taraneh Aminian | EP |
Alexandre Démétriadès | SOC |
Muriel Thalmann | SOC |
Muriel Cuendet Schmidt | SOC |
Salvatore Guarna | SOC |
Cédric Echenard | SOC |
Sylvie Pittet Blanchette | SOC |
Eliane Desarzens | SOC |
Transcriptions
Visionner le débat de ce point à l'ordre du jourRetour à l'ordre du jourL’auteur n'ayant pas souhaité développer son interpellation en plénum, celle-ci est renvoyée au Conseil d’Etat qui y répondra dans un délai de trois mois.