20_INT_37 - Interpellation Sergei Aschwanden - Un goût de Provence...?! (Pas de développement).

Séance du Grand Conseil du mardi 3 novembre 2020, point 4 de l'ordre du jour

Texte déposé

En date du 27 février 2018, l’auteur de cette interpellation a déposé un postulat concernant le respect des trois heures hebdomadaires d’éducation physique au post-obligatoire[1]. Pendant ce temps, le Grand Conseil a amendé l’EMPD pour l’aménagement du gymnase provisoire de Bussigny afin qu’une salle de sport soit construite en vue de respecter les exigences fédérales et cantonales en termes d’enseignement de l’EPS à l’école. À la suite de cet événement, il se pose la question du gymnase de Provence (pas de salle de sport à disposition) quant au fait que ladite LEPS n’est de loin pas respectée dans leur établissement, même si celui-ci a également été construit à titre provisoire. Pour ces raisons j’ai donc l’honneur de poser les questions suivantes au CE :

·       Comment se fait-il que le Canton n’ait pas cherché des solutions afin de répondre aux exigences cantonales et fédérales au gymnase de Provence ?

·       Est-ce que le canton a envisagé d’allouer des montants supplémentaires au gymnase de Provence afin que les activités physiques puissent être pratiquées dans le respect de la LEPS ?

·       Est-il vrai que les déplacements sont à la charge des élèves ? Si oui, comment cela se fait-il ?

·       Les disponibilités d’infrastructures sportives dans les alentours du gymnase de Provence varient d’une année à l’autre ; comment le canton envisage-t-il une planification « sereine » ?

·       Le canton a-t-il envisagé la construction d’une halle de gymnastique provisoire dans les alentours de l’établissement ?

·       Jusqu’à quand le gymnase de Provence sera-t-il en fonction ?

 

[1]https://www.vd.ch/toutes-les-autorites/grand-conseil/depute-e-s/detail-objet/id/18_POS_038/membre/70387/

Conclusion

Ne souhaite pas développer

Transcriptions

Mme Sonya Butera (SOC) — Président-e

L’auteur n'ayant pas souhaité développer son interpellation en plénum, celle-ci est renvoyée au Conseil d’Etat qui y répondra dans un délai de trois mois.

Retour à l'ordre du jour

Partager la page

Partager sur :