Simple question Jacques-André Haury - La lutte pour l'égalité ne justifie-t-elle pas la masculinisation de certains substantifs féminins ?
Auteur
Jacques-André Haury
Date du dépôt
26.03.2024
Département pilote
DEIEP
Département en appui
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Identifiant
24_QUE_27
Commission
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Délais réponse du CE
26.04.2024
Dernière décision du GC
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Texte déposé
Dans sa directive sur l’écriture épicène rééditée en 2022, et obligeamment rappelée par la Gazette, Media de la fonction publique vaudoise, dans sa dernière édition, le Conseil d'Etat établit une liste de substantifs masculins appelés à être féminisés.
Il est permis de se demander pourquoi le Bureau de l’Egalité ne s’indigne pas de cette égalité à sens unique. Pourquoi ne traite-t-il pas des noms féminins qui devraient, par réciprocité, être masculinisés quand ils désignent des hommes. Par exemple :
- Le victime
- Le recrue
- Un idole
- Un vedette
- Un star
- Etc.
Je demande donc au Conseil d’Etat s’il ne juge pas opportun de modifier sa directive dans ce sens, avec l’appui du Bureau de l’Egalité.
Documents
Lien | Type |
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24_QUE_27-Texte déposé | Intervention parlementaire |
Séances dont l'objet a été à l'ODJ
Date | Décision |
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26.03.2024 | - |