Question orale Laure Jaton - Face à la souffrance du personnel de l’ERACOM, des mesures urgentes ne sont-elles pas nécessaires ?
Laure Jaton
16.01.2024
DEF
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24_HQU_1
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Terminée, 23.01.2024
Texte déposé
La presse s’est faite l’écho, en fin d’année, de dysfonctionnements graves à l’ERACOM. En mars 2022, un rapport de l’inspection du travail identifiait 10 facteurs de risques psychosociaux, suite auquel un plan d’action a été présenté aux enseignant·e·s par le Directeur de la DGEP.
Mais après une année, le service de l’emploi n’a pas constaté d’amélioration.
En décembre 2023, la DGEP répond que « la plupart des mesures prévues sont déjà en place ». Comment expliquer alors que les souffrances au travail perdurent ?
La DGEP ajoute que « certaines de ces mesures ne pourront produire leurs effets qu’à long ou moyen terme ». Que se passe-t-il en attendant ? L’Etat demande-t-il à son personnel de serrer les dents ?
Au vu de ce qui précède, j’ai l’honneur de poser la question suivante :
Face à une souffrance du personnel de l’ERACOM, qui dure depuis des années et qui a encore été exprimée fin 2023, un traitement d’urgence n’est-il pas nécessaire, allant au-delà de la simple mise en œuvre des mesures et de l’attente de leurs effets à long terme ?
Documents
Lien | Type |
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24_HQU_1-Texte déposé | Intervention parlementaire |
Séances dont l'objet a été à l'ODJ
Date | Décision |
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23.01.2024 | - |
16.01.2024 | - |