« Toute personne peut être confrontée à une maison de recouvrement »

Parlons Cash! La Direction générale de la cohésion sociale lance aujourd'hui une nouvelle campagne pour prévenir le surendettement. Le focus est mis sur les maisons de recouvrement comme leur activité s’est accrue ces dernières années.

parlons cash

Profitant de la détresse de débiteurs acculés, les maisons de recouvrement recourent à des pratiques contestables à de nombreux égards. Des frais excessifs et sans fondement juridique sont presque systématiquement ajoutés. « Nous constatons que l’activité de ces entreprises spécialisées dans la récupération de dettes impayées s’est accrue ces dernières années. Aujourd’hui, toute personne peut être confrontée à une maison de recouvrement, qu’elle soit surendettée ou non », explique Lou Tremblais-Tounsi, cheffe de projet à la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS).

En effet, il suffit parfois de ne pas avoir pu payer une seule facture pour se retrouver englouti par des montants vertigineux… La vidéo explicatif à ce sujet présente l'exemple de Marie, qui a failli payer des écouteurs 500 francs ! Le scénario a été travaillé en collaboration étroite avec les partenaires de la ligne téléphonique Parlons Cash qui sont souvent confrontés à ce genre de cas .

Visionner la vidéo

Consulter le site internet www.parlons-cash.ch qui donne des explications et conseils pratiques comment réagir. Il est aussi possible d’y télécharger une lettre-type pour contester les frais non dus.

Appeler la hotline Parlons Cash: tél. 0840 43 21 00 (numéro non surtaxé); lu-me 8h30-17h et ma-je 8h30 à 13h (sauf jours fériés)

En savoir plus sur le programme cantonal de prévention du surendettement coordonné par la DGCS

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