Après deux jours d’investigations intenses, la piste du drame familial est l’hypothèse privilégiée par la procureure en charge de l’instruction pénale et les enquêteurs. L’examen médico-légal des cinq victimes a permis de relever, sur chacune, des impacts consécutifs à des tirs d’arme à feu pouvant conduire au décès. Une arme a été retrouvée à proximité du père qui pourrait être l’auteur des quatre autres homicides avant de mettre fin à ses jours. L’intervention d’un tiers semble exclue à ce stade des investigations. Les causes de l’incendie n’ont pas encore pu être formellement établies, mais les experts ont relevé la présence dans les différentes pièces de la maison d’une grande quantité d’accélérant, potentiellement de l’essence, ce qui explique l’ampleur des dégâts dans le bâtiment. Les investigations se poursuivent avec l’appui des experts en incendie de l’École des sciences criminelles de l’Université de Lausanne.
Les cinq victimes ont été formellement identifiées comme étant bien les membres de la même famille composée de trois fillettes de 5, 9 et 13 ans, de leur maman de 40 ans et du père âgé de 45 ans.
Les investigations sont menées par les enquêteurs de la brigade criminelle, de la cellule incendie et la brigade de police scientifique de la police de sûreté, sous l’égide du Ministère public.
Après deux jours d’investigations intenses, la piste du drame familial est l’hypothèse privilégiée par la procureure en charge de l’instruction pénale et les enquêteurs. L’examen médico-légal des cinq victimes a permis de relever, sur chacune, des impacts consécutifs à des tirs d’arme à feu pouvant conduire au décès. Une arme a été retrouvée à proximité du père qui pourrait être l’auteur des quatre autres homicides avant de mettre fin à ses jours. L’intervention d’un tiers semble exclue à ce stade des investigations. Les causes de l’incendie n’ont pas encore pu être formellement établies, mais les experts ont relevé la présence dans les différentes pièces de la maison d’une grande quantité d’accélérant, potentiellement de l’essence, ce qui explique l’ampleur des dégâts dans le bâtiment. Les investigations se poursuivent avec l’appui des experts en incendie de l’École des sciences criminelles de l’Université de Lausanne.
Les cinq victimes ont été formellement identifiées comme étant bien les membres de la même famille composée de trois fillettes de 5, 9 et 13 ans, de leur maman de 40 ans et du père âgé de 45 ans.
Les investigations sont menées par les enquêteurs de la brigade criminelle, de la cellule incendie et la brigade de police scientifique de la police de sûreté, sous l’égide du Ministère public.