Les transports publics croissent deux fois plus vite que les transports individuels motorisés. Ces derniers voient donc leur part modale se réduire : elle serait aujourd'hui d'environ 72%, contre 75% en 2005. Basée comme chaque année sur l'observation des flux entre les principales localités, cette estimation ne tient pas compte de l'évolution du trafic à l'intérieur des agglomérations. L'année prochaine, le microrecensement de 2010 permettra de disposer de chiffres beaucoup plus complets. Outre les déplacements urbains, cette étude inclura également la mobilité douce : vélo et marche.
Communiqué de presse du 11 avril 2011
Vidéo: interview de François Marthaler, chef du département des infrastructures